Apprendre, fortement tributaire du cerveau,
Objet constant de toutes les attentions,
Racine de diverses institutions,
Magnifié dans l’espace tout comme dans le temps,
Résultant de tout et tout conditionnant,
Commençant au berceau pour finir au tombeau,
D’une nécessité pérenne et vitale,
Sert de ferment à l’utilité sociale.

En dépendent la culture et le métier,
Et donc l’insertion et la place dans la vie,
Par l’expression des humaines facultés
Relevant du cognitif ou du manuel,
Toutes nécessitant un travail perpétuel,
Que nourrit une quête jamais assouvie.

Aussi bien au sens propre que figuré,
Apprendre et comprendre restent amarrés,
S’alliant pour se nourrir mutuellement,
Tous deux demeurant l’un de l’autre le ferment.

Sont également l’un de l’autre le ciment,
La théorie et sa consœur la pratique,
Arrimant le cerveau aux organes de sens,
Couplant l’amphithéâtre au terrain de stages,
Accorant le cognitif aux aptitudes,
Accordant leur pleine place aux attitudes,
Scellant le mariage essence-existence,
Pour hisser haut le flambeau de l’apprentissage,
Et consacrer notre génie illuminant,
Au service des nécessités cosmiques.

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